L'Avancement de l'Armée Gondorienne

Boromir ordonna à ce qu'on ouvre les portes de Minas Tirith. Une fois ouverte, il commença à marché, immédiatement suivit pas l'armée Gondorienne. Boromir marchait en tête, à sa droite et juste derrière lui il y avait son jeune frère Faramir. Monté sur son cheval, Boromir souriait et discutait avec son frère. L'armée les suivant jusqu'à la citée d'Osgiliath. A Osgiliath, ils virent qu'il n'était pas seul, car le Prince Imrahil de Dol Amroth et Berethor Capitaine de la Garde de la Citadelle les attendaient. Ils descendirent tous de leur cheval.

Seigneur Boromir, Seigneur Faramir, s'exclama Berethor. Imrahil se contenta d'un signe de tête amical. Tout est en ordre ?

Seigneur Berethor, Seigneur Imrahil, répondit Boromir. Oui, montrez moi vos guerriers.

Berethor s'écarta et des Hommes équipés de lances apparurent.

Parfait, et vous Imrahil ?, questionna aimablement Boromir, sans quitter des yeux les soldats de Berethor qui se rangeaient à la suite de l'armée.

Imrahil fit un signe de la main et des cavaliers de Dol Amroth surgirent et prirent place dans l'armée qui contenait désormais 85 000 Hommes sous les seuls ordres de Boromir. Boromir les conduisit au cœur de la citée d'Osgiliath. Au centre se trouvait une table, ou des plans et des schémas étaient affichés dessus. Boromir se saisit du plan d'Osgiliath.

L'Avancement de l'Armée Gondorienne Osgili12

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Il toucha un endroit de la carte

Vous voyer ici, et ici, et encore ici, et là, s'écria Boromir.

Il saisit un autre plan montrant le relief de la citée.

L'Avancement de l'Armée Gondorienne Osgili13

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Il y avait autrefois des tanière de Gobelins, que nos ancêtres ont chassé depuis fort longtemps. reprit il.Mais le mal revient toujours, soyons prudent.

Boromir menait l'Armée, sur son coté droit se trouvait Imrahil avec qui il parlait, plongé dans une grande discussion. Sur sa gauche, il y avait Berethor qui écoutait attentivement et intervenait quelques fois. Faramir était derrière son frère, et juste derrière lui marchait avec honneur et fierté l'Armée Gondorienne. Il faisait chaud et les montures commençaient à fatiguer. Pourtant, Boromir n'accorda pas de pause. Il continuait sa route, exposant sa nuque au soleil qui le brûlait. Mais personne ne se plaignait, il devait accomplir leur mission.

Les minutes passèrent et les antres de Gobelins n'étaient pas visibles. Cependant, quelques petits gargouillement répugnants se faisaient entendre. Et soudainement deux des six antres apparurent sous leurs yeux. Il n'y avait aucune peur, que ce soit sur leur visage ou dans leur cœur. L'Armée s'arrêta. Boromir leva sa main droite et s'élança au galop. Il fut suivit avec des grands gris de guerres et des martèlements assourdissants. Les Gobelins présents relevèrent la tête et lorsqu'ils aperçurent ce qui leur venait dessus, un terreur incomparable se lisait sur leurs visages. Les deux antres et les Gobelins furent écrasés. L'Armée ne fut en aucun cas touché. Ils se dirigèrent vers les quatre autres antres restant qui furent eux aussi écrasés. Il n'y eut aucun survivant chez les Gobelins et l'Armée Gondorienne rentra intact en chantant dans les rues de Minas Tirith.

Boromir mena ses hommes à la taverne, puis une fois la nuit tombée, il les menas dans la Caserne. Il demanda à Faramir et Berethor de surveiller l'entrée jusqu'à son retour. Puis il partit en compagnie de Imrahil vers la Forge.

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